Aujourd’hui marque le début de la troisième semaine à l’Université de Nice et je m’adapte bien en general même s’il y a avec mon université américain.
L’Université de Nice Sophia Antipolis ; il y a 9 endroits différents, pour exemple, la faculté des sciences, de médecine, de droit et science politique, et la faculté des lettres, ou j’étudie chaque jour. La fac, comme nous l’appelons, est un grand bâtiment avec des salles de classe et quelques amphithéâtres donc, quand je me passe dans les couloirs, je me sens comme une lycéenne à nouveau. Chaque cours est rempli des étudiants qui s’assoient calmement et prennent des notes dans leurs journaux. Des cartes ornent les murs et les professeurs utilisent encore le tableau au lieu de présentations powerpoint. C’est vraiment une cause d’anxiété de se sentir encore au lycée, comme si je ne l’avais jamais quitté et n’était pas encore entrée à l’université. Quel cauchemar !
Ce matin, quand je suis arrivée à l’arrêt de bus, je n’ai pas vu qu’il n’y avait personne à l’arrêt. Il a fallu attendre qu’une passante m’a dit qu’il y avait une grève des transport aujourd’hui. J’étais un peu choquée d’entendre une chose si imprévu, donc je me suis tournée vers l’étudiante à côté de moi, et elle m’a dit avec un petit air de frustration qu’elle retournerait se coucher. Après être retournée chez moi, j’ai cherché sur internet plus d’informations sur la grève qui m’avait empêchée de prendre mon bus et j’ai appris que la grève avait déjà été organisée il y a trois jours pour protester contre le niveau de salaires des ouvriers. Alors j’ai attendu et J’ai pris le bus à une heure, quand le trafic a repris. La crise a été évitée.
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